Chacun d’entre nous se protège du soleil d’une manière différente, quelques-uns choisissent d’utiliser des vêtements amples, d’autres se badigeonnent de crème solaire mais certains sont déterminés à se protéger naturellement du soleil. Après tout, le soleil à toujours été présent, la crème solaire quant à elle est une invention âgée de quelques dizaines d’années.
Bien-sûr, il est possible de protéger sa peau grâce à différentes techniques que nous vous présentons ci-dessous. Cependant, le soleil reste « dangereux ». En effet, celui-ci attaque littéralement votre peau et la brûle, ces effets peuvent être atténués mais jamais complètement effacés. Une exposition au soleil répétée et cela même protéger peut parfois mener à plusieurs effets secondaires.
En cas de doute sur votre peau, nous vous conseillons bien évidemment de vous fier à l’avis d’un professionnel de la santé.
Les compléments alimentaires pour une protection solaire
Il existe une énorme quantité de compléments alimentaires, certains vous permettent de meilleurs gains musculaires, une meilleure santé etc… Dans cet article, nous vous parlons d’une série spéciale de compléments alimentaires, ceux permettant à votre peau de se protéger elle-même contre le soleil. En effet, on les reconnaît à leur mention AB (Agriculture Biologique), qui est gage d’efficacité naturelle. Car bien évidemment, le complément se doit d’être naturel si on veut se protéger du soleil de manière naturelle. Vous pourrez en trouver en effectuant une simple visite chez votre pharmacien ou directement sur le net.
Prenez le temps de vous renseigner sur le type de complément que vous vous apprêtez à consommer. Certains d’entre eux proposent une aide au bronzage mais en aucun cas une aide à la protection du soleil, tous ces détails sont généralement renseignés au dos du complément.
L’aloe vera pour se protéger du soleil
Vous devez sûrement connaître l’existence de ce fameux produit dont tout le monde raffole, et oui l’aloe vera est encore une fois présent pour nous aider à combattre un nouveau souci du quotidien. Cette fois-ci, l’aloe vera n’est pas utilisé comme un aliment que l’on consommerait sous forme de jus ou autres mais bien comme une sorte de crème. Et oui, c’est le liquide présent à l’intérieur de cette large plante qui nous aidera à nous protéger du soleil.
En fait, lorsque le liquide visqueux présent à l’intérieur de cette plante est étalé sur notre peau, il apporte non seulement une grande quantité de nutriments à celle-ci et contribue à son bon développement mais laisse aussi une fine couche de protection à la surface. Cette couche œuvre à la protection de la peau contre le soleil ainsi que les autres turbulences auxquelles elle pourrait être exposée. En bref, l’allée vera protège votre peau contre les rayons du soleil sans être néfaste pour votre corps comme certaines crèmes industrielles.
À nouveau, notre exposition au soleil n’est pas quelque chose à prendre à la légère, l’aloe vera offre certes une protection mais celle-ci n’est pas non plus infaillible.
Pourquoi renoncer à la crème solaire industrielle ?
Les produits de protection solaire sont destinés à être appliqués sur le corps tous les jours, pendant toute une vie. Les entreprises qui fabriquent et vendent des ingrédients et des produits de protection solaire doivent les tester de manière approfondie afin de déterminer leurs effets potentiels sur la santé à court et à long terme. Cela comprend des tests de toxicité pour l’irritation et les allergies cutanées, ainsi que des tests pour l’absorption cutanée et le potentiel de causer le cancer, de perturber le système hormonal et de causer des dommages pendant la reproduction et le développement.
En 2019, lorsque la Food and Drug Administration fédérale – l’agence qui régit la sécurité des crèmes solaires – a proposé ses plus récentes mises à jour de la réglementation sur les crèmes solaires, elle a constaté que seuls deux ingrédients, l’oxyde de zinc et le dioxyde de titane, peuvent être classés comme sûrs et efficaces. Mais au cours de l’année écoulée, de nombreuses nouvelles études ont soulevé de nouvelles inquiétudes quant aux effets de perturbation endocrinienne de trois autres ingrédients : l’homosalate, l’azobenzène et l’oxybenzone.
Au cours de l’année écoulée, la Commission européenne a publié des avis préliminaires sur la sécurité de trois filtres UV organiques, l’oxybenzone, l’homosalate et l’octocrylène. Elle a constaté que les niveaux de deux d’entre eux n’étaient pas sûrs dans les quantités auxquelles ils sont actuellement utilisés, et a proposé une limite de concentration de 2,2 % pour l’oxybenzone et de 1,4 % pour l’homosalate. Les fabricants américains de crèmes solaires sont légalement autorisés à utiliser ces deux produits chimiques à des concentrations allant jusqu’à 6 et 15 %, respectivement, et des centaines de crèmes solaires fabriquées aux États-Unis les utilisent à des concentrations qui dépassent de loin les recommandations de la Commission européenne.
Les ingrédients que sont l’oxybenzone, l’octinoxate, l’octisalate, l’octocrylène, l’homosalate et l’azobenzène sont tous absorbés de manière systémique dans l’organisme après une seule utilisation (Matta 2019, Matta 2020), selon des études publiées par la FDA, qui ont également constaté qu’ils pouvaient être détectés sur la peau et dans le sang des semaines après ne plus être utilisés (Matta 2020). Des études antérieures ont détecté de nombreux ingrédients de crème solaire dans des échantillons de lait maternel et d’urine (Schlumpf 2008, Schlumpf 2010). En outre, il est possible pour les utilisateurs de crème solaire d’inhaler les ingrédients contenus dans les sprays de protection solaire et d’ingérer certains des ingrédients qu’ils appliquent sur leurs lèvres, de sorte que les ingrédients ne doivent pas être nocifs pour les poumons ou les organes internes.
Cette exposition constante aux produits chimiques des crèmes solaires soulève des inquiétudes, notamment parce qu’il n’existe pas suffisamment de données de sécurité pour la plupart des ingrédients. Nous sommes encore plus préoccupés par des ingrédients tels que l’oxybenzone, qui ont été liés à des perturbations hormonales par de nombreuses études.
